Dix ans et plus de fausses solutions


A Montpellier la surdouée
Il faut trier à la source ! Comment faut-il vous le dire ? ! 
Le TMB (Traitement mécanique et biologique) n’est pas la solution ! Il faut nous expliquer pourquoi la décharge de Castries (oui, l’Installation de stockage de déchets non-dangereux ou ISDND) fermente et dégage de lourdes odeurs méphitiques d’hydrogène sulfuré (H2S et autres mercaptans) ?
Le 5 mai 2018, depuis la position située en haut de la colline sans nom qui domine au nord-est la dent creuse de la carrière GSM, les manifestants ont pu nettement profiter des émanations d’hydrogène sulfuré ! C’est la preuve d’une escroquerie manifeste qui veut nous faire croire que ce sont des déchets ultimes qui sont là ! Nous disons non : ce sont des déchets insuffisamment traités, censés avoir été « stabilisés » dans l’usine de TMB Amétyst et qui ne devraient plus fermenter ! Comme dirait ce vieux Galilée, «et pourtant ils fermentent !». Pourquoi ?

1 – Le tri à la source

Le tri à la source consiste à séparer, dès la cuisine du citoyen-citoyenne, les déchets organiques fermentescibles (restes de repas, épluchures, …) et à les mettre dans des conteneurs appropriés où ils vont rapidement de dessécher et perdre les 75 à 80% d’humidité afin de les empêcher de fermenter et d’attirer insectes et rats. Laisser les déchets biologiques (organiques) fermenter avec les bouteilles plastiques, des piles, des métaux, … produit des réactions chimiques qui altèrent des composants qui perdent tout intérêt de recyclage-récupération. Par exemple, les piles éclatent et laissent échapper des jus toxiques riches et métaux lourds et liquides dangereux. Les mettre de côté les préserve jusque chez le récupérateur-recycleur de métaux.

1.1 – Collecte des biodéchets : compostainer

Les bio-déchets (biologiques-organiques) triés et séparés à la source doivent être traités rapidement. Soumis au traitement biologique (compostage ou méthanisation) ils donnent un compost de qualité. Un inconvénient : la collecte des bio-déchets ! Selon les gourous de la Direction de la Prévention et de la Gestion des Déchets, le compostainer serait impropre à cet usage ! GROSSE ERREUR ! C’est justement le conteneur approprié qui permet la dessication des bio-déchets par aération, qui les mets à l’abri des insectes et des rongeurs (rats !). Un compostainer peut desservir une dizaine de villas ou un immeuble ! La solution dite «Le Tube» est dangereuse car les déchets y fermentent, méthanisent spontanément avec des risques d’explosion et d’incendie.

1.2 – Traitement biologique (Fraction fermentescible des OM)

Le traitement biologique comporte deux solutions alternatives :

  • le compostage qui ne donne que du compost,
  • la méthanisation de bio-déchets purs qui donne du compost et du biogaz avec un excellent rendement.

La méthanisation est pratiquée ainsi en Suisse et a été donnée en exemple il y a 14 ans telle que pratiquée par Kompogaz AG®. Or ce n’est pas ce qui est pratiqué à Montpellier. Pourtant, cette solution donne un biogaz qui ne nécessite qu’une désulfuration (élimination de l’hydrogène sulfuré) et éventuellement une élimination des composés volatils de silice (COVSi). Ces composés proviennent des lingettes et déchets de silicones éventuellement présents dans les biodéchets.

1.3 – Le recyclage du reste

Le reste des déchets domestiques (ou autres) est soumis au recyclage. C’est le domaine de la poubelle à couvercle jaune (ou des sacs jaunes : c’est nouveau, ça vient de sortir), domaine de l’usine (ou du centre) «DEMETER». Le centre DEMETER de Montpellier aurait dû être multiplié par dix ! Cartons, papiers, plastiques, tut est bon et le tri qui s’y pratique donne des emplois et produit des revenus tirés de la vente des produits secondaires ainsi récupérés.
Or, c’est un domaine qui a été négligé par MMM et ses prédécesseurs. Or, depuis une quinzaine d’années, les gourous se sont très peu agité les neurones et ont mal conseillé leurs décideurs politiques.

2 – Le traitement mécano-biologique (TMB)

Le traitement mécano-biologique (TMB) est un processus industriel destiné, à l’origine, à éviter un nouvel incinérateur  à Montpellier qui avait dû fermer la décharge de Lattes-Pérols ou «Le Thôt». Cinquante ans d’erreurs, où d’une décharge qui ne devait pas dépasser 7 m de haut, on est passé à une colline artificielle de 30 m de haut et de 3 km de longueur. (52 hectares au sol).

2.1 – Confusion et enfumage

Le tri mécanique : voilà la solution trouvée pour l’absence de volonté politique de mise en place du tri citoyen à la source et à la collecte séparative des déchets ménagers, en substitution d’un projet d’incinérateur. On enfourne du tout-venant, des ordures ménagères mélangées qui ont bien mariné et fermenté ensemble et la merveilleuse mécanique va tout séparer. Une question : qui a trouvé une machine capable de séparer des oeufs battus pour séparer les blancs des jaunes ? Les industriels ont le culot de prétendre séparer des ordures ménagères mélangées et ayant co-fermenté ! Ils appellent celà «Tri mécano-biologique», nous appelrons cela, provisoirement, traitement mécano-biologique ! (il n’a rien de biologique !).

2.2 – Traitement mécanobiologique

A coup de tables vibrantes, de tambours électro-balistiques ou magnétiques, de bio-réacteurs-stabilisateurs on arrive à séparer de la matière biologique impure (FFOM) contenant des débris de verre, de métal, de plastiques, … Ce magma infâme est soumis à la méthanisation dans des méthaniseurs.
Ce traitement est la méthanisation, c’est à dire la fermentation anaérobie dans les méthaniseurs Kompogas AG® à palettes mécaniques. Le rendement est catastrophiquement mauvais en bio-gaz et le digestat qui sort des méthaniseurs est mis à composter.
Un tel compost est coûteux et une partie de ce compost grossier part vers … une ISDND (une Installation de stockage de déchets non-dangereux) en fait une décharge ce catégorie III.

2.3 – Un biogaz impropre aux moteurs thermiques

Du fait des résidus plastiques méthanisés dont un nombre important de silicones, le biogaz est riche en composés organiques volatils (COV) et particulièrement en composés organiques volatils de silice (COVSi). Lorsque les COVSi brûlent dans un moteur thermique (un moteur de co-génération entraînant des alternateurs électriques), le gaz se transforme en poudre de silice qui se mélange à l’huile de lubrification, entraînant une usure rapide et prématurée du moteur par cette pâte à roder !
Si le biogaz n’est pas épuré des COVSi, il est impropre à tout moteur. Pourtant, on nous avait promis que les autobus de Montpellier (TAM) rouleraient au gaz d’Amétyst ! Il sont au gaz mais au GNV (gaz naturel de ville !) Encore un mensonge : les exploitants des parcs de transport ne veulent pas entendre parler de bio-gaz dans les moteurs de leurs autobus (Montpellier, Amiens, …) L’épuration des COVSi est une opération coûteuse, chère et risquée !

3 – Les autres traitements des déchets

3.1 – L’incinération des déchets

L’incinération est présentée comme le feu purificateur, le magicien qui fait disparaître les déchets et fabrique de la chaleur ! Or, l’incinérateur fabrique aussi une pollution invisible (une décharge atmosphérique de gaz, de composés gazeux toxiques où dominent les dioxines et autres …), produisant des résidus solides et toxiques, les mâchefers ! Nous n’insisterons pas ! Le traitement des mâchefers est un vrai casse-têtes.

3.2 – Les ISDND ou décharges de catégorie III

Nous voici rendus à Castries Carrière GSM ! Un site fourre tout qui ne devait pas fermenter mais qui fermente. Pourquoi ces mauvaise odeurs ? Parce que le passage des déchets dans Amétyst est accéléré et les déchets dits ultimes n’ont pas fini de fermenter ! Le traitement vraiment adéquat est coûteux et ON a inventé la décharge méthaniseur !

Pour le CA de l’ODAM
Pour les Riverains de GAROSUD
Pour le CA du CIDES34
Jacky CHANTON
vP ODAM, secrétaire CIDES, membre des Riverains de Garosud

 




Communiqué de presse

COMMUNIQUE DE PRESSE :

 ÇA PUE à Assas, Saint Drézéry et Teyran

«Ça pue, ça cocotte et ça nous irrite, avec des conséquences sur notre santé ! » explique Greg Solinas, le président de ACiDC.
»Depuis plusieurs jours, de fortes odeurs répugnantes sont signalées par les habitants des communes avoisinant la décharge de Castries, et tout particulièrement ceux de Saint Drézéry, Assas, Teyran. »Des odeurs de gaz, de matières en décomposition, de distillerie  Des nuisances telles que dans certains quartiers, mieux vaut ne pas ouvrir ses fenêtres ou prévoir un barbecue … «
Ces puanteurs s’invitent même pendant les animations festives, comme à Teyran vendredi 15, où elles ont perturbé l’ambiance d’un concert.
Au delà des odeurs, il y a aussi toutes les substances chimiques transportées ; avec un impact non négligeable à moyen et long terme sur la santé des populations avoisinantes.  A Assas par exemple, l’école et la crêche se trouvent au coeur du village, là où sont ressenties les odeurs.
Le collectif ACIDC est préoccupé par ces odeurs, la situation est terrible et risque d’empirer à cause des chaleurs actuelles ;  preuve s’il en était de l’absence de maîtrise de l’opérateur et son donneur d’ordres. L’association environnementale   persiste à exiger des pouvoirs publics de mettre fin à cette situation. Des mesures de la qualité de l’air en continu avec enregistrement sont devenues indispensables.
Plus que jamais mobilisé,  ACiDC continue son compte à rebours de la fermeture promise de la décharge de Castries en installant régulièrement une banderolle explicative sur le carrefour à proximité de la décharge.

ACiDC


– – – – – ACiDC – – – –
En cas d’odeurs : écrivez a votre mairie et mettez ACiDC34@gmail.com en copie.

Retrouver ACiDC sur internet : dechargedecastries.fr et sur Facebook
Allez voir sur YouTube et Dailymotion les videos-reportages des actions en recherchant « decharge de castries » ou « ACiDC »
 





ISDND : qu’est-ce que c’est ?

Logo CIDES-34

Info

Il faut trier à la source ! Le TMB (Traitement mécanique et biologique) n’est pas la solution ! Il faut nous expliquer pourquoi la décharge de Castries (oui, l’Installation de stockage de déchets non-dangereux) ou ISDND fermente et dégage de lourdes odeurs méphitiques d’hydrogène sulfuré (H2S) ?

Hier, 5 mai 2018, de la position située en haut de la colline sans nom qui domine au nord-est la dent creuse de la carrière GSM, les manifestants ont pu nettement profiter des émanations d’hydrogène sulfuré ! C’est la preuve d’une escroquerie manifeste qui veut nous faire croire que ce sont des déchets ultimes qui sont là ! Nous disons non : ce sont des déchets insuffisamment traités, censés avoir été stabilisés dans l’usine de TMB Amétyst et qui ne devraient plus fermenter ! Comme dirait ce vieux Galilée, «et pourtant ils fermentent !». Pourquoi ?

1 – Le tri à la source

Le tri à la source consiste à séparer, dès la cuisine du citoyen-citoyenne, les déchets organiques fermentescibles (restes de repas, épluchurs, …) et à les mettre dans des conteneurs appropriés où ils vont rapidement de déssécher et perdre les 75 à 80% d’humidité afin de les empêcher de fermenter et d’attirer insectes et rats. Laisser les déchets biologiques (organiques) fermenter avec les bouteilles plastiques, des piles, des métaux, … produit des réactions chimiques qui altèrent des composants qui perdent tout intérêt de recyclage-récupération. Par exemple, les piles éclatent et laissent échapper des jus toxiques riches et métaux lourds et liquides dangereux. Les mettre de côté les préserve jusque chez le récupérateur de métaux.

1.1 – Collecte des biodéchets : compostainer

Les biodéchets (biologiques-organiques) triés et séparés à la source doivent être traités rapidement. Soumis au traitement biologique (compostage ou méthanisation) ils donnent un compost de qualité. Un inconvénient : la collecte des biodéchets ! Selon les gourous de la Direction de la Prévention et de la Gestion des Déchets, le compostainer est impropre à cet usage ! GROSSE ERREUR ! C’est justement le conteneur approprié qui permet la dessication des biodéchets par aération, qui les mets à l’abri des insectes et des rongeurs (rats !). Un compostainer peut desservir une dizaine de villas ou un immeuble ! La solution dite «Le Tube» est dangereuse car les déchets y fermentent, méthanisent spontanément avec des risques d’explosion et d’incendie.

1.2 – Traitement biologique

Le traitement biologique comporte deux solutions alternatives :

  • le compostage qui ne donne que du compost,
  • la méthanisation de biodéchets purs qui donne du compost et du biogaz avec un excellent rendement.

La méthanisation est pratiquée ainsi en Suisse et a été donnée en exemple il y a 14 ans telle que pratiquée par Kompogaz AG®. Or ce n’est pas ce qui est pratiqué à Montpellier. Pourtant, cette solution donne un biogaz qui ne nécessite qu’une désulfuration (élimination de l’hydrogène sulfuré) et éventuellement une élimination des composés volatils de silice (COVSi). Ces composés proviennent des lingettes et déchets de silicones éventuellement présents dans les biodéchets.

1.3 – Le recyclage du reste

Le reste des déchets domestiques (ou autres) est soumis au recyclage. C’est le domaine de la poubelle à couvercle jaune (ou des sacs jaunes : c’est nouveau, ça vient de sortir), domaine de l’usine (ou du centre) «DEMETER». Le centre DEMETER de Montpellier aurait dû être multiplié par dix ! Cartons, papiers, plastiques, tut est bon et le tri qui s’y pratique donne des emplois et produit des revenus tirés de la vente des produits secondaires ainsi récupérés.

Or, c’est un domaine qui a été négligé par MMM et ses prédécesseurs. Or, depuis une quinzaine d’années, les gourous se sont peu agité les neurones et ont mal conseillé leurs décideurs politiques.

2 – Le traitement mécano-biologique (TMB)

Le traitement mécano-biologique (TMB) est un processus industriel destiné, à l’origine, à éviter un nouvel incinérateur  à Montpellier qui avait dû fermer la décharge de Lattes-Pérols ou «Le Thôt». Cinquante ans d’erreurs où d’une décharge qui ne devait pas dépasser 7 m de haut, on est passé à une colline artificielle de 30 m de haut et de 3 km de longueur. (52 hectares au sol).

2.1 – Confusion et enfumage

Le tri mécanique : voilà la solution trouvée pour l’absence de volonté politique de mise en place du tri citoyen à la source et à la collecte séparative des déchets ménagers. On enfourné du tout-venant, des ordures ménagères mélangées qui ont bien mariné et fermenté ensemble et la merveilleuse mécanique va tout séparer. Une question : qui a trouvé une machine capable de séparer des oeufs battus pour séparee les blancs des jaunes ? Les industriels ont le culot de prétendre séparer des ordures ménagères élangées et ayant co-fermenté ! Ils appellent celà «Tri mécanobiologique», nous appelons celà traitement mécano-biologique !

2.2 – Traitement mécanobiologique

A coup de tables vibrantes, de tambours électrique balistiques ou magnétiques, de bio-réacteurs-stabilisateurs on arrive à séparer de la matière biologique impure contenant des débris de verre, de métal, de plastiques, … Ce magma infâme est soumis à la méthanisation dans des méthaniseurs.

Ce traitement est la méthanisation, c’est à dire la fermentation anaérobie dans les méthaniseurs Kompogas AG® à palettes mécaniques. Le rendement est catastrophiquement mauvais en bio-gaz et le digestat qui sort des méthaniseurs est mis à composter.

Un tel compost est coûteux et une partie de ce compost grossier part vers … un ISDND, une Installation de stockage de déchets non-dangereux, une décharge ce catégorie III.

2.3 – Un biogaz impropre aux moteurs thermiques

Du fait des résidus plastiques méthanisés dont un nombre important de silicones, le biogaz est riche en composés organiques volatils (COV) et particulièrement en composés organiques volatils de silice (COVSi). Lorsque les COVSi brûlent dans un moteur thermiquie (un moteur de co-génération entraînant des alternateurs électriques), le gaz se transforme en poudre de silice qui se mélange à l’huile de lubrification, entraînant une usure rapide et prématurée du moteur ! Un rodage accéléré.

Si le biogaz n’est pas épuré des COVSi, il est impropre à tout moteur. Pourtant, on nous avait promis que les autobus de Montpellier (TAM) rouleraient au gaz d’Amétyst ! Il sont au gaz mais au GNV (gaz naturel de ville !) Encore un mensonge : les exploitants des parcs de transport ne veulent pas entendre parler de bio-gaz dans les moteurs de leurs autobus (Montpellier, Amiens, …) L’épuration des COVSi est une opération coûteuse, chère et risquée !

3 – Les autres traitements des déchets

3.1 – L’incinération des déchets

L’incinération est présentée comme le feu purificateur, le magicien qui fait disparaître les déchets et fabrique de la chaleur ! Or, l’incinérateur fabrique aussi une pollution invisible (une décharge atmosphérique) et produit des résidus solides, les mâchefers ! Nous n’insisterons pas !

3.2 – Les ISDND ou décharges de catégorie III

Nous voici rendus à Castries Carrière GSM ! Un site fourre tout qui ne devait pas fermenter mais qui fermente.

Pourquoi ces mauvaise odeurs ? Parce que le passage des déchets dans Amétyst est accéléré et les déchets dits ultimes n’ont pas fini de fermenter ! Mis en décharge, ils continuent à fermenter.

le webmestre


Raymond Gimilio




Montpellier-Métropole : foutue politique des déchets !

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Info

Le 5 mai 2018, une manifestation pacifique a eu lieu à Castries, à la carrière GSM, là où les dirigeants de Montpellier-Métropole déversent des déchets dits «ultimes et non-dangereux». Une manifestation bon enfant mais où des citoyens déterminés ont fait entendre leur voix devant les médias.

«Il faut vous de dire comment» ? Nous reprenons ici le slogan de la Métropole pour interpeller les responsables du traitement des déchets pour leur dire «Vous faites une grave erreur et vous persistez». Comme dit le dicton «Errare humanum est, perserverare diabolicum». Faut-il traduire et dire que l’erreur est humaine mais y persévérer est diabolique !

A Montpellier la surdouée, on fait beaucoup d’erreurs, nous ne cessons de le dire depuis 2004 ! Mais on persévère beaucoup !

Il faut trier à la source ! Le TMB (Traitement mécanique et biologique) n’est pas la solution ! Il faut nous expliquer pourquoi la décharge de Castries (oui, l’Installation de stockage de déchets non-dangereux) ou ISDND fermente et dégage de lourdes odeurs méphitiques d’hydrogène sulfuré (H2S) ?

Hier, 5 mai 2018, de la position située en haut de la colline sans nom qui domine au nord-est la dent creuse de la carrière GSM, les manifestants ont pu nettement profiter des émanations d’hydrogène sulfuré ! C’est la preuve d’une escroquerie manifeste qui veut nous faire croire que ce sont des déchets ultimes qui sont là ! Nous disons non : ce sont des déchets insuffisamment traités, censés avoir été stabilisés dans l’usine de TMB Amétyst et qui ne devraient plus fermenter ! Comme dirait ce vieux Galilée, «et pourtant ils fermentent !». Pourqoi ?

La réponse est que Montpellier-Métropole nous ment ! On fait semblant de … !




St Jean de Libron contribution 261 à l’EUP du PRPGD Occitanie

Contribution PRPGD

Je souhaite m’exprimer au sujet de l’ISDND de St Jean de Libron à Béziers. Ce site exploité dans l’illégalité depuis 2014 expose des riverains proches à des odeurs insupportables et à des émanations qui ont des conséquences sur leur santé, bien que celà ait été dissimulé dans la dernière étude d’impact.

Depuis 2014 la quasi totalité des ordures ménagères sont enfouis. Cela est attesté par la cour des comptes qui nous révèles que VALORBI (centre de valorisation) ne valorise que 3% des ordures, le reste étant enfoui à l’ISDND sans stabilisation préalable de la matière organique par manque d’infrastructure. Les conséquences sont dramatique pour la population riveraine qui doit supporter les émanations de biogaz avec le H2S qui au bout de bientôt deux ans rend malade des personnes (irritations des yeux, du nez, de la gorges, des bronches, des cordes vocales….). Des recours au tribunal sont en cours.

L’exploitant , la Communauté d’agglomération Béziers Méditerranée refuse de rectifier ses erreurs en fermant son casier N°4. Or, ce casier a reçu énormément de matière putrescible et fuit du biogaz. Cette situation empire avec la pluie qui réactive fortement la méthanisation. L’exploitant et les services de l’état sont totalement incompétents et ils ont mis en place des casiers qui restent ouvert pendant 4 ans (casier N°3 ouvert de 2012 à 2016) au beau milieu des habitations alors qu’il est parfaitement connu que la matière putrescibles va se dégrader et engendrer une montée en puissance des biogaz pendant 4 ans. Par ailleurs, il est également reconnu qu’un ISDND n’est pas un méthaniseur comme les autres et qu’il a la particularité d’avoir beaucoup de fuites. Alors démarrer le casier n°4 avec des déchets putrescibles fumant et refuser de le fermer pour ensuite refaire de petits casier qui seront fermé au bout d’un an est un acte criminelle pour la planète et la couche d’ozone (CH4 à un effet de serre 24 fois plus fort que le CO2) mais surtout pour les riverains. La région peut- elle prendre sa part de responsabilité dans cette affaire ?

Anonyme

/*! elementor - v3.5.5 - 03-02-2022 */
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le webmestre